- EAN13
- 9791032932087
- Éditeur
- Éditions de l'Observatoire
- Date de publication
- 28/02/2024
- Collection
- Hors Collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La nouvelle « causalité diabolique »
La démocratie à l'épreuve de l'antisémitisme
Perrine Simon-Nahum
Éditions de l'Observatoire
Hors Collection
Autre version disponible
À l’heure où l’antisémitisme fait vaciller ?les démocraties, Perrine Simon-
Nahum plaide ?pour un urgent sursaut républicain. Comment l’antisémitisme,
cette « causalité diabolique », ainsi que le définissait le grand historien
Léon Poliakov, peut-il encore servir de ciment commun à toutes les haines –
hier les idéologies nationalistes, aujourd’hui les luttes intersectionnelles ?
Pour Perrine Simon-Nahum, l’explosion de violence à laquelle nous assistons
met en évidence ce qui disparaît sous nos yeux : les conditions du « vivre-
ensemble ». Elle marque la progression des courants fondamentalistes, des
idéologies woke et identitaires, et plus largement de l’ensemble des récits
qui remettent en cause la possibilité que nous avons de cohabiter au sein de
sociétés apaisées. Ces théologies modernes ne font en réalité que réactualiser
le fondement de la haine séculaire des juifs : la question de l’identité. Face
à ces courants, le « projet juif » est pour l’auteure l’un des outils sur
lesquels nos démocraties devront s’appuyer pour l’emporter face à leurs
adversaires, car le judaïsme qu’il définit offre une vision du monde qui nous
garantit la liberté de faire société.
Nahum plaide ?pour un urgent sursaut républicain. Comment l’antisémitisme,
cette « causalité diabolique », ainsi que le définissait le grand historien
Léon Poliakov, peut-il encore servir de ciment commun à toutes les haines –
hier les idéologies nationalistes, aujourd’hui les luttes intersectionnelles ?
Pour Perrine Simon-Nahum, l’explosion de violence à laquelle nous assistons
met en évidence ce qui disparaît sous nos yeux : les conditions du « vivre-
ensemble ». Elle marque la progression des courants fondamentalistes, des
idéologies woke et identitaires, et plus largement de l’ensemble des récits
qui remettent en cause la possibilité que nous avons de cohabiter au sein de
sociétés apaisées. Ces théologies modernes ne font en réalité que réactualiser
le fondement de la haine séculaire des juifs : la question de l’identité. Face
à ces courants, le « projet juif » est pour l’auteure l’un des outils sur
lesquels nos démocraties devront s’appuyer pour l’emporter face à leurs
adversaires, car le judaïsme qu’il définit offre une vision du monde qui nous
garantit la liberté de faire société.
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