- EAN13
- 9782200248512
- ISBN
- 978-2-200-24851-2
- Éditeur
- Armand Colin
- Date de publication
- 04/04/2012
- Collection
- Hors Collection
- Nombre de pages
- 182
- Dimensions
- 19 x 13 cm
- Poids
- 215 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 301
- Fiches UNIMARC
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Scénarios d'avenir - Futurs possibles du climat et de la technologie
Futurs possibles du climat et de la technologie
De Bertrand Guillaume, Valéry Laramée de Tannenberg
Armand Colin
Hors Collection
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N’en déplaise à quelques « climato-sceptiques » isolés, l’écrasante majorité des scientifiques s’accorde sur la réalité du réchauffement climatique. L’heure n’est plus aux doutes : il faut combattre le mal. Mais comment ? Les scénarios divergent.
Certains militent de longue date pour la conclusion d’un accord mondial, juridiquement contraignant, sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. D’autres balayent cette option d’un revers de main. Il serait trop tard selon eux – ou trop coûteux – pour compter sur la simple réduction des émissions afin d’atténuer les bouleversements qui nous attendent.
Leur solution ? Provoquer un refroidissement artificiel à l’échelle du globe, en saupoudrant, par exemple, l’atmosphère de particules de sulfates. Comme le montrent les auteurs, si ces options de « géoingénierie » sont parfois crédibles, elles portent en elles de lourdes menaces climatiques, environnementales et géopolitiques. Elles permettraient aussi à quelques entreprises de réaliser, sur la planète, la plus gigantesque OPA de tous les temps.
Bertrand Guillaume est maître de conférences à l’Université de technologie de Troyes, professeur associé à l’Université de Sherbrooke (Canada).
Spécialiste des questions climatiques, Valéry Laramée de Tannenberg est rédacteur en chef du Journal de l’Environnement, journaliste à L’Usine à GES.
Certains militent de longue date pour la conclusion d’un accord mondial, juridiquement contraignant, sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. D’autres balayent cette option d’un revers de main. Il serait trop tard selon eux – ou trop coûteux – pour compter sur la simple réduction des émissions afin d’atténuer les bouleversements qui nous attendent.
Leur solution ? Provoquer un refroidissement artificiel à l’échelle du globe, en saupoudrant, par exemple, l’atmosphère de particules de sulfates. Comme le montrent les auteurs, si ces options de « géoingénierie » sont parfois crédibles, elles portent en elles de lourdes menaces climatiques, environnementales et géopolitiques. Elles permettraient aussi à quelques entreprises de réaliser, sur la planète, la plus gigantesque OPA de tous les temps.
Bertrand Guillaume est maître de conférences à l’Université de technologie de Troyes, professeur associé à l’Université de Sherbrooke (Canada).
Spécialiste des questions climatiques, Valéry Laramée de Tannenberg est rédacteur en chef du Journal de l’Environnement, journaliste à L’Usine à GES.
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